Alors que les enseignant·es viennent de reprendre le chemin de leur classe, avec l'inquiétude de fermetures-dominos pour cause de possibles transmissions du COVID, le ministre multiplie les polémiques stigmatisantes et avance son projet de libéralisation de l'école sur fond d'inégalités scolaires renforcées. La grève du 23 septembre vise à dénoncer ces politiques éducatives et de sous-investissement de l'école et doit permettre de poser la nécessité d’un tout autre projet.