Les critères d'accueil, par manque de financement, se sont durcis. Des familles, considérées comme non-prioritaires, se font expulser. Nous, enseignants du département, parents d'élèves, élus et associatifs ne pouvons tolérer ça ! Le rassemblement et l'audience à la préfecture du mercredi 30 mai ont permis d'obtenir un délai de 28 jours pour les familles, mais la situation n'est pas pérenne, restons vigilants !